Coloriez, Prenez En Photo Et Regardez Les Images S'Animer ! - Liste De Lecture De Librairie Le Divan Paris

Tuesday, 2 July 2024

Chaque personne voit ce qu'elle veut voir. Tes yeux et ton cœur sont libres d'imaginer. » J'ai répondu ce que maman répond aux gens qui lui posent la même question. Je l'ai tellement entendue le dire. Parce que cette œuvre fascine chaque personne qui entre pour la première fois dans le salon. Pourtant, la maison est pleine des œuvres de ma tante, mais c'est devant ce tableau, au-dessus du divan vert de mon père, que le monde réagit. Charles est toujours perplexe: « Toi, tu vois quoi? Regardes ça... [MORDS MOI] - YouTube. — Moi, je vois de la joie qui s'envole. — Han? Ah, ouais… C'est quoi de la joie qui s'envole? — De la joie qui s'envole, c'est ça. » Je sais, à 9 ans, voir de la joie qui s'envole, c'est étonnant. Mais je l'avais tellement regardé, ce tableau, mes pensées s'étaient tellement perdues dedans que j'avais fini par pouvoir nommer ce qu'en moi il allait chercher. Toute ma jeunesse, je me suis assis sur le divan bleu qui fait dos aux fenêtres. À ma droite, il y avait la télé, avec toutes ses images en action, toutes ses images concrètes, toutes ces images qui n'arrêtaient pas de changer, et devant moi, il y avait cette grande image, toujours la même, tellement abstraite qu'on ne la voyait jamais de la même façon.

  1. Regardez moi ça divan sur

Regardez Moi Ça Divan Sur

— Par Guillemette Faure — Qu'ils aient déjà ou pas mis les pieds dans le cabinet d'un psy, impossible de les faire décrocher des séances de Philippe Dayan, le thérapeute de la série « En thérapie », sur Arte. Avec ses 35 épisodes qui racontent le défilé de patients chez leur psy, la série d'Arte En thérapie est devenue la préférée de ceux qui ne regardent pas la télé, de ceux qui commencent leurs phrases par « moi qui déteste les séries d'habitude ». Grâce à la couverture médiatique, aux affiches sur les Abribus, parce que, « tu te rends compte, ça s'est vendu dans 19 pays », grâce au bouche-à-oreille, ils se sont imposé de regarder au moins quelques épisodes avant de tomber dedans. Regardez moi ça divan du. Ils ont trouvé douillet, à l'époque du couvre-feu, de pouvoir se réfugier dans un monde où chacun est écouté atten­tivement, un monde de gens conversant sans masque assis si près l'un de l'autre. Depuis, ils en parlent comme d'une série incontournable au point de faire culpabiliser ceux qui ne comprennent pas pourquoi ils n'y trouvent pas leur compte.

C'est une série sur ce qui nous empêche, ce qu'on ne maîtrise pas, mais aussi sur le poids des conventions, la liberté qu'on s'accorde? Ça va ensemble. En réalité, on ne s'autorise pas beaucoup! C'est théorisé par Freud, la question du surmoi, le poids de l'éducation, d'un certain nombre de règles dans lesquelles on est élevé… Cette question revient chez tous les personnages, malgré leurs profils différents. Oui. Entretien sur le divan de Frédéric Pierrot, le psy d'«En thérapie» | L'Humanité. Je pense à Robin (Aliocha Delmotte). Évidemment, le divorce de ses parents est traumatique, mais il y a aussi le fait qu'il soit un peu enrobé, qu'à l'école ça ne se passe pas si bien, qu'il soit harcelé par un de ses « copains »… Ce sont des situations plus courantes qu'on pense. Mais ce type surpuissant qu'est Alain (Jacques Weber) est aussi intimement déstabilisé par un événement traumatique qui fait résonner une blessure intime. On comprend bien, j'espère, que le rôle d'un psy n'est pas de prendre les décisions pour son patient. On donne un côté plus intime, en suivant le docteur Dayan dans son quotidien.