Musique Roumaine House

Sunday, 7 July 2024

Téléchargement digital Téléchargez cet album dans la qualité de votre choix "Impressions d'enfance", le nouvel enregistrement de l'Ensemble Raro avec Gilles Apap, est consacré aux œuvres de musique de chambre de George Enescu. Le Quintette avec piano en ré est l'une de ses premières compositions. Musique roumaine house techno. Écrit en 1896 à l'âge de quinze ans alors qu'il étudiait au Conservatoire de Paris, il s'inspire certainement des œuvres de musique de chambre de Brahms. Enescu lui-même a avoué l'énorme influence de Brahms sur son développement: "Le dieu de mon culte juvénile est Brahms, et j'ai écrit mes premières œuvres presque sans vergogne dans le style de l'immortel Johannes". Le Quintette a été joué pour la première fois en 1897, lors du premier concert d'Enescu de ses propres œuvres à Paris à l'âge de seize ans; Massenet et Cortot étaient assis dans le public. Les deux œuvres enchanteresses pour piano et trio à cordes, Aubade et Sérénade lointaine, illustrent ce que le professeur bien-aimé d'Enescu, Gabriel Fauré, a si bien dit: « La plus grande compétence technique ne vaut rien sans poésie ».

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A propos de Scène ouverte slam - Ose le ton! Le mardi 17 mai, en clôture des ateliers Ose le ton! de ce printemps, se déroulera une scène de slam ouverte à tou·tes! Le principe? Chaque participant·e qui désire faire vibrer ses mots sur scène peut s'inscrire sur place en début de soirée. Si vous le désirez, vous pouvez donc également vous joindre à la scène ouverte en tant que spectateur·rice uniquement. Le prince Charles visite un centre de réfugiés ukrainiens en Roumanie -. Avec qui? Z&T nous feront l'honneur d'animer cette belle soirée! Joy sera aussi de la partie pour nous déclamer plusieurs de ses textes. Les règles? Maximum 3 minutes, pas fond sonore, pas d'accessoire. On vous y attend! Photos de Scène ouverte slam - Ose le ton!

Stanislas Rodanski – J'ai cherché le visage d'une femme… J'ai cherché le visage d'une femme en écartant les franges de la pluie avec mes bras qui s'ouvraient en vain et n'accueillaient que les désertions du vent. Je creuse. Insomnies de somnambule, j'envie le sommeil de ceux qui peuvent trouver dans les rêves une image éventuelle de l'amour. Je ne suis pas de ces chercheurs-là: je creuse. Je fouille des terres ardues comme un tombeau. Musique roumaine house music. Quand il est enfin ouvert, l'amour en sort et moi je m'y coule en faisant semblant de dormir. Je creuse tout au long d'un faux sommeil où vingt fois par nuit je fais en dormant le geste de souffrir. *** Stanislas Rodanski (1927-1981) – Je suis parfois cet homme (Gallimard, 2013) Publié dans Stanislas Rodanski