Maison Des Travestis

Tuesday, 2 July 2024

Pour les moins raffinés ou ceux ayant des goûts particuliers (anciennement nommés "les renifleurs"), ll y a les urinoirs des gares ceux-ci ayant avantageusement remplacé les pissotières et les tasses (vespasiennes) des siècles derniers. Ceux des nouvelles boites gays (nouveau mot à la mode pour nous désigner) créées dans le Marais, qui en plus d'un sous-sol spécifique sont souvent agrémentées de sling, de cabines de "baise" et autres choses non négligeables, de préservatifs, de lubrifiant et de gel de toutes sortes, ainsi que d'autres accessoires indispensables à tout ébat avec des inconnus de rencontre. Le tout mis gracieusement à disposition des clients par des gérants soucieux de notre santé et surtout de celles des autres. Hum oui, on va pas commencer à se refiler toutes les saloperies qui trainent, le commerce en souffrirait! Biterrois : dans l'intimité des travesties au château de Trédos - midilibre.fr. Pour ceux que cet article ont intéressé, une partie de mes sources a été:. Le musée de l'érotisme à Paris.. Les deux prostitutions (la prostitution antiphysique) (François Carlier).

Biterrois : Dans L'intimité Des Travesties Au Château De Trédos - Midilibre.Fr

Témoignages de riverains partagés sur le sujet.

Autres lieux de drague de ces années là: la rue de Rennes, notamment devant le Drugstore Publicis qui a vu son trottoir arpenté par des jeunes gens, à peine majeurs (je ne veux pas jouer les langues de putes en disant que certains étaient encore mineurs), drogués jusqu'à la moëlle, défendant leur espace vital à coups d'invectives et de poings s'il le falllait. La rue Germain Pilon dans le 18ème arrdt de Paris était connue pour ses hommes travestis. Le boulevard de Clichy, de la place Blanche à Pigalle, pour ses gitons et/jésus habillés en hommes mais fardés comme des poules, spécialistes des hommes vieillissants. Toujours en vogue à ce jour: le jardin des Tuileries (Galerie et Esplanade du jeu de paume) les pissotières en bas de cette fameuse galerie ont été retirées depuis plusieurs années. Les jardins du Trocadéro, les bois de Boulogne (vers la porte Dauphine) et Vincennes (vers le château) possédant des bosquets accueillants, sans compter les hammams et saunas pour une consommation immédiate sans avoir à payer la chambre.