Chant Religieux Marocain

Tuesday, 2 July 2024

Nous l'avons célébré en respectant les traditions marocaines». Jedwane met ainsi fin aux rumeurs, annonçant qu'un retour à la chanson n'est pas prévu. H. M.

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Aussi bien les responsables culturels que les poètes et musiciens sahraouis ont conscience de la fragilité de cet héritage culturel oral unique qu'il ne faudrait pas folkloriser. Une poésie musicale codifiée Musique et poésie ont toujours été intimement liées dans la tradition orale sahraouie, permettant une compréhension et une diffusion plus large de la poésie. Au XVIIIe siècle Saddûn Wall N'Dartou associe la 'qasida', poésie arabe classique comportant au moins sept vers à rime unique, à un nouveau style musical. Celui-ci comporte deux modes à la symbolique importante dans la poésie qu'ils accompagnent et symptomatique du métissage culturel déjà en cours à cette époque. Chant religieux marocain des. Des colorations musicales symboliques 'Janba Lbaïda', la voie 'blanche' dévoile l'origine arabe des compositions poétiques, elle symbolise un moment s'étalant de l'aube à la mi-journée. Dégageant douceur et sensations agréables, elle est considérée comme un divertissement musical correspondant au 'Ghazal', chanson lyrique d'origine arabe.

La Dakka marrakchia (ville de Marrakech) La Daka marrakchia est un genre musical spécifique à la ville de Marrakech. Son nom vient du verbe « Dakka » signifiant « frapper » en arabe, qui renvoie aux battements sur les percussions. La Dakka marrakchia est pratiquée pendant l'achoura, ainsi que lors de festivités familiales comme les mariages, les baptêmes ou les fiançailles etc. Selon des données relatives à l'origine de la Dakka marrakchia, cet art folklorique serait originaire de la ville de Taroudant (Maroc). Ce sont les tanneurs qui seraient les initiateurs, vu qu'ils la pratiquaient pour rendre leurs tâches plus agréables. Mesut Kurtis ou la magie du chant religieux. Pour jouer la Dakka marrakchia on utilise le N'far (trompette du ramadan), les crotales, les cymbales ainsi que les tambours. Les rythmes joués sont accompagnés de chants choraux principalement masculins et rendent hommage aux « Sabaatou Rijal », les sept gardiens spirituels de la ville. L'un des musiciens de Dakka Marrakchia les plus connus est Abderrahim Bana.