Tennis : Trois Joueurs Belges, Dont Arthur De Greef, Suspendus - Rtbf.Be

Thursday, 4 July 2024

C'est dans les installations flambant neuves de la fédération flamande de tennis, à Anvers, que nous assistons, jeudi matin, à l'entraînement de Zizou Bergs. Le joueur de tennis pro, n° 2 belge, est coaché depuis plusieurs années par le Nivellois Bertrand Tinck. "Quand Zizou est en Belgique, nous travaillons ici quotidiennement, explique-t-il. Il a également, en parallèle, des sessions d'entraînement physique. " Cela fait maintenant sept ans que le Brabançon a pris le Limbourgeois sous son aile. "J'ai travaillé à la fédération francophone, à Mons, pendant pas mal de temps, notamment avec David Goffin quand il était jeune, mais à un moment, il n'y avait plus de boulot pour moi. Joueur de tennis belge. Johan Van Herck (NDLR, Capitaine de l'équipe belge féminine et masculine) est venu me chercher pour m'occuper de Zizou, il avait quinze ans. " S'ils se sont séparés quelques mois lorsque Zizou Bergs s'est entraîné à Barcelone, il a rappelé Bertrand il y a un an et demi. "J'aime beaucoup travailler avec lui. Quand tu vois les résultats que l'on fait (lire ci-dessous), c'est la preuve que ça fonctionne, explique Zizou Bergs entre deux exercices.

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Grand espoir du tennis mondial à la fin des années 70, le Belge Bernard Boileau a vu son ascension vers le très haut niveau stoppée par la drogue et l'alcool. Une bien triste histoire belge. Grand espoir du tennis mondial à la fin des années 70, huit fois champion de Belgique, Bernard Boileau a vu son ascension vers le très haut niveau stoppée par l'héroïne et l'alcool. Joueur de tennis belge www. Une histoire belge en forme de « rise and fall » pour un gamin issu d'un milieu populaire qui n'a pas su gérer son entrée précoce dans le grand monde de la balle jaune. « Bernard possède le plus beau revers du circuit. En Europe, il est l'un de mes adversaires principaux. » Le commentaire est signé Yannick Noah. A l'époque, la fin des années 70, une nouvelle génération de grands espoirs du tennis émerge sur le vieux continent et c'est un échalas belge qui domine son monde: un certain Bernard Boileau, qui gagne ses duels face à un Noah admiratif mais aussi face au jeune Ivan Lendl. Toujours avec un incroyable sentiment de facilité.

C'est une vraie responsabilité mais aussi un coup de boost. Quand on a des partenaires qui représentent et aiment le tennis aussi fort depuis si longtemps, ça apporte énormément de motivation. Ma présence reste indéfectible auprès des jeunes car j'aime partager mon expérience, évoquer les valeurs du sport de haut niveau, les travailler avec eux et leur faire sentir qu'on est là quels que soient les obstacles. Il faut aussi montrer à un jeune en difficulté que travailler sur le long terme, c'est important. Je l'ai rappelé dans le cadre du programme: il faut du temps dans le développement d'un joueur et l'encadrement doit se montrer patient. On ne peut pas arrêter de soutenu un jeune dès que quelque chose ne va pas. Joueur de tennis belge francophone. C'est important de le comprendre et de le mettre en perspective. Comment se traduit votre rôle au quotidien, concrètement? Je suis trois jours par semaine sur le terrain avec Carlos Rodriguez, qui a été mon coach et qui travaille avec nous à l'académie. On a chacun notre rôle et c'est extrêmement passionnant pour l'un comme pour l'autre.