Je Couche Avec Le Mari De Mon Amie De

Thursday, 4 July 2024

«J'ai hâte d'être dans tes bras, nos moments torrides hantent mes pensées…» Rabaissée, offensée, mise plus bas que terre, je n'en revenais pas: j'étais une femme trompée! Sans réfléchir, j'ai appelé mon amie pour lui demander de venir chez moi. Entre-temps, je continuais à lire leurs conversations et tous les détails des rencontres, les lieux, les dates et les mots employés contre moi: «L'autre, elle me dégoûte, c'est à toi que je pense quand je lui fais l'amour…» Je ne sentais plus mon corps, j'étais blessée au plus profond de mon âme, le cœur déchiré. Mon amie est enfin arrivée à la maison. Nous nous sommes échangé un long regard, et là, je lui ai demandé: «Tu es la maîtresse de mon mari? Je couche avec le mari de mon amie translation. » Elle a répondu avec sang froid: «Oui, nous nous sommes laissés emportés, nous étions dans notre bulle, ce n'était pas dans le but de te faire du mal…» Je lui ai demandé de quelle bulle il s'agissait? D'une bulle bourrée de calculs et de trahisons assurément… A ce moment précis, j'ai réalisé la raison pour laquelle mon mari et moi avions une sexualité qui battait de l'aile.

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» J'ai évidemment nié, et il a juste ajouté: « J'espère bien. » L'effet du champagne commençant à se dissiper, je l'ai fusillé du regard. « Qu'est-ce que tu veux dire? On n'est pas mariés, que je sache! » Et, au lieu de répondre, il s'est penché et m'a glissé un baiser dans le cou. « De toute façon, si j'avais un amant, je ne te le dirais pas! » ai-je lancé d'un air un peu coquin. Chaque fois qu'il passait une vitesse, sa main effleurait ma cuisse et me troublait un peu plus. ''J'ai finit par coucher avec le mari de ma meilleure amie tant elle m'expliquait tous leurs ébats'' - NetAfrique.net. Entre nous, l'air devenait électrique. Une fois arrivés devant chez moi, je suis sortie de la voiture et, au lieu de démarrer, Vincent m'a raccompagnée devant le portail. Je lui ai fait une bise pour le remercier, et il a demandé: « Et c'est tout? » Je lui ai fait une deuxième bise et, brusquement, il m'a serrée dans ses bras très fortement. J'ai protesté: « Mais tu n'y penses pas… Marielle, Thomas! – Quoi, tu n'en as pas envie? » C'était notre destin Et là, je l'ai embrassé à pleine bouche, tandis que mes trois enfants dormaient tranquillement à quelques mètres et que sa femme l'attendait sagement chez eux.

Et nous risquions de déclencher une tempête. Thomas est un mari adorable, un père exemplaire, et nous avons des tas de projets: partir en Asie, investir dans une deuxième boutique de déco… Et puis je ne supportais pas l'idée de perturber l'existence de mes enfants par une rupture fracassante. J'ai passé le lundi après-midi à marcher dans la ville pour réfléchir en dressant des colonnes de pour et de contre dans ma tête. Et, le soir, bien qu'encore troublée, j'ai appelé Vincent pour lui dire que j'arrêtais tout. Il a insisté, hurlé que c'était la chance de notre vie, que nous étions faits l'un pour l'autre, que tout le monde le savait, à part moi, etc. J'ai choisi l'harmonie Mais j'ai résisté à tous ses arguments et lâché cette phrase définitive: « J'aime ma vie. – Plus que moi? » J'ai esquivé en répondant d'abord qu'il en faisait partie, puis j'ai fini par dire: « Oui, plus que toi. Je couche avec mon mari et ma meilleure amie. Et toi, tu as Marielle! Vous êtes heureux, non? – Tu ne comprends décidément rien! » a-t-il lâché. Que devais-je comprendre?